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COURS 5: Chirurgie narrative ou fabrication ironique de l'héroïne

« Ce qui m’a frappé, ce n’est pas le ratage misérable  
des amours et des fantasmes d’Emma […],  
c’est l’intensité de flamme vive qui plante son héroïne,  
au milieu du sommeil épais d’un trou de Normandie, 
comme une torche allumée ». 
Julien Gracq, En lisant, en écrivant 1980

I. Un parcours héroïque à interroger 

I. A. Se vivre en héroïne : une lectrice  

Corpus:  I/ 6, pp. 87,,89. II/9, p.232

I. B. Une héroïne déçue: "l'insuffisance de la vie" (III/6) ou la dérive du bovarysme 

Corpus:  I/ 9, pp. 112, 114, I/7,p.91

I. C. L'absence à soi : sonder sa cause profonde

Corpus:  I/ 6, pp. 85

II. La fabrique du personnage: entre héroïsation et lacération  

II.A. Une héroïne tragique 

II.B. La puissance du point de vue: un portrait diffus, focalisation et capture 

Corpus:  I/ 3, pp. 69-70,  II/ 7, pp. 194-195.  II/8:p. 201, III/8

II.B. Une Emma baudelairienne :  Spleen et idéal

Corpus:  I/ 9, pp. 112, 114, II/304

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